Nouvelle identité visuelle pour le 25e du FPM

Pour célébrer ses 25 ans, le Festival de la poésie de Montréal vous convie à des Re(trouvailles) grandioses, du 26 mai au 2 juin 2024. 
 

« Voilà 25 ans que le FPM démocratise la poésie et nous rassemble. Cette année, venez vivre avec nous de grandes ou petites (Re)trouvailles ! » - Catherine Cormier-Larose, directrice artistique 

Nous débuterons les festivités avec le dévoilement de notre programmation complète, lors d’une soirée de lectures le 6 mai 2024 au Saint Motel (4000 rue St-Ambroise, Suite 278, Montréal), dès 16h.

Merci à Velga Avah pour l'identité visuelle. 

Venez célébrer avec nous cet important quart de siècle!

Avec Carole David, Emmanuelle Riendeau, Alexandre Dostie, Juliette Langevin et Mathieu Arsenault.

Dans le cadre de la présentation du documentaire On achève bien les rockers lors des Rendez-vous Québec cinéma, nous avons réuni Carole David, Emmanuelle Riendeau, Alexandre Dostie, Juliette Langevin et Mathieu Arsenault pour une soirée de lecture fortes en émotions

En collaboration avec Québec Cinéma. 


Crédit photo : Claudia Grégoir

Crédit photo : Claudia Grégoire

Une délégation de cinq poètes québécois·es sera présente au Festival international de poésie de Sidi Bou Said en Tunisie du 25 au 28 avril 2024. 

Le Festival de la poésie de Montréal est très heureux d'annoncer qu'une délégation de cinq poètes québécois·es sera présente au Festival international de poésie de Sidi Bou Said en Tunisie du 25 au 28 avril 2024. L'extraordinaire délégation est formée des poètes Nora Atalla, Francis Catallo, Valérie Forgues, Elkahna Talbi et Larry Tremblay.

Un projet d’anthologie regroupant une trentaine de poètes québécoise·es, en collaboration avec les Éditions tunisiennes Arabesques, sera aussi lancé lors du Marché de la poésie 2024.

Ce projet est possible grâce au programme Rayonner à l'international du Conseil des arts du Canada.

Suivez-nous sur nos réseaux sociaux pour suivre l'aventure!

Le Festival de la poésie de Montréal (FPM) est heureux de dévoiler les 20 recueils qui forment la première sélection de son Prix francophone international, édition 2024.

Montréal, le 20 mars 2024 – Le Festival de la poésie de Montréal (FPM) est heureux de dévoiler les 20 recueils qui forment la première sélection de son Prix francophone international, édition 2024. Pour une quatrième année, un jury international s’est rencontré dans le contexte de ce prix qui souligne la richesse et encourage le renouvellement de l’écriture poétique en langue française à travers le monde. 

 

Une seconde sélection de 10 titres sera dévoilée le 22 avril prochain. La personne lauréate participera à la 25ème édition du Festival de la poésie de Montréal (du 26 mai au 2 juin 2024) où il ou elle se verra décerner une bourse de 5000 $. 

 

Première sélection 

Anas Atakora, La vie que nous menons ici, (Editions Awoudy – Togo)

Martine Audet, Des formes utiles, (Éditions du Noroît – Québec) 

Joséphine Bacon, Kau minuat - Une fois de plus, (Mémoire d'encrier – Québec) 

Germaine Beaulieu, L’infini perd son temps, (Écrits des Forges – Québec)

Jean-Philippe Bergeron, genèse berceau de la lune, (Poètes de Brousse – Québec)

Laure Cambau, Les yeux de la mouche, (Le Castor Astral – France)

Michel Coté, Rien n'est si étrange, (Éditions du Noroît – Québec)

Alain Dantinne, Chemins de nulle part, (L'herbe qui tremble – Belgique)

Chantal Dupuy-Dunier, Parenthèses, (Éditions Henry – France)

Tarek Essaker, Les Cheminants, (l’Arbre à paroles – Tunisie) 

Annie Lafleur, Puberté, (Le Quartanier – Québec)

Olyvier Leroux-Picard, Soleil sans heures, (Poètes de Brousse – Québec)

Françoise Lison-Leroy, Nid, (Esperluète Editions – Belgique)

Nathanael, Comme de tout temps, (Les Éditions de l’Hexagone – Québec)

Huppert Malanda, La plus précieuse version du soleil (Éditions Alliance Kongo – République du Congo)

Bernard Pozier, Le chemin éternel, (Écrits des Forges – Québec)

Jean-Christophe Réhel, Le plancher de la lune, (la courte échelle – Québec)

Hector Ruiz, Appartenir (Éditions du Noroît – Québec)

Laurence Vielle, Billets d’où, (Le Castor Astral – Belgique) 

Ouanessa Younsi, Quand je vis, (Mémoires d'encrier – Québec)

 

Le FPM remercie ses partenaires pour leur précieux soutien : Académie Mallarmé (France), Consulat général de France à Québec, Fédération des Maisons de la poésie européennes (MAIPO), Festival des Quatre chemins (Haïti), Maison Africaine de la Poésie (Sénégal), Maison de la poésie d’Amay et FiEstival (Fédération Wallonie-Bruxelles). 


À propos du Prix francophone international 

Créé par le FPM en 2020, le Prix francophone international du Festival de la poésie de Montréal est décerné annuellement pour récompenser une œuvre poétique francophone s’étant démarquée par sa qualité formelle et thématique. Cette récompense vise à stimuler les échanges entre les écrivain·eset leurs différents publics à travers le monde francophone. Le nom du lauréat ou de la lauréate est dévoilé chaque année au Festival de la poésie de Montréal.

À propos du Festival de la poésie de Montréal

Fondé en 2000, le Festival de la poésie de Montréal a pour mission de promouvoir la poésie, ici comme à l’étranger. Il rassemble chaque printemps près de 200 poètes, éditeurs, éditrices, revuistes, chercheurs et chercheuses. En plus d’une programmation diversifiée (spectacles, lectures, colloques, tables rondes, projections, balados, remises de prix, hommages, etc.), il tient chaque année le Marché de la poésie, événement unique en son genre en Amérique du Nord. La prochaine édition du FPM, qui souligne la 25ème édition, se tiendra du 26 mai au 2 juin 2024.

 

Pour plus de détails : https://www.festivaldelapoesiedemontreal.com/fr/prix

 

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Source et renseignement

Élise Ross-Nadié, Chargée de projet

Festival de la poésie de Montréal 

coordination@festivaldelapoesiedemontreal.com / (438-830-2799)

Lors de la soirée vidéopoésie du Festival de la poésie de Montréal, étidion 2023, le film 6 minutes/km de Catherine Boivin, atikamekw de Wemotaci et membre du collectif Wapikoni, a remporté le Prix des Rendez-vous poésie en partenariat avec Vidéographe.
 

Lors de la soirée vidéopoésie du Festival de la poésie de Montréal, étidion 2023, le film 6 minutes/km de Catherine Boivin, atikamekw de Wemotaci et membre du collectif Wapikoni, a remporté le Prix des Rendez-vous poésie en partenariat avec Vidéographe.
 
Mot du jury : « Ce magnifique vidéopoème nous plonge, avec une belle simplicité de moyens, dans l’état méditatif de la course, qui se rapproche de celui de la poésie. Le dialogue des images et du texte permet de traverser les époques, le passé de la nation Atikamekw et son présent avec une sensibilité contemporaine et toute personnelle. »  
Félicitations Catherine.
 

Le FPM est heureux de décerner le Prix francophone international à la poète ivoirienne Tanella Boni pour son recueil Insoutenable frontière (Éditions Bruno Doucey)

 

 

La poète ivoirienne Tanella Boni remporte le
Prix francophone international
du Festival de la poésie de Montréal

Montréal, 1er juin 2023 - Hier soir, lors de la soirée Briller vrai, la grande soirée du Festival de la poésie de Montréal, la poète ivoirienne Tanella Boni a remporté le Prix francophone international du Festival de la poésie de Montréal 2023 pour son recueil Insoutenable frontière, publié aux Éditions Bruno Doucey (Côte d’Ivoire) 

Pour une troisième année consécutive, le Festival de la poésie de Montréal est fier de remettre ce prix à une œuvre poétique francophone exceptionnelle pour sa qualité formelle et thématique. Le festival a remis une bourse de 5 000$ (CAD) à Tanella Boni lors de la soirée.

Les deux autres finalistes de l'édition 2023:
Paul Bélanger pour Traverses, publié aux Éditions du Noroît (Canada, Québec) et Carole David avec Le programme double de la femme tuée aux Éditions Les Herbes rouges (Canada, Québec).

Crédit photo: Maryse Boyce
TANELLA BONI
 
Tanella Boni est née à Abidjan, en Côte d’Ivoire. Après des études supérieures à Toulouse puis à Paris IV Sorbonne, dont elle est docteur en lettres, elle a longtemps été professeure de philosophie à l’Université d’Abidjan, présidente de l’Association des écrivains de la Côte d’Ivoire et membre de l’Académie mondiale de poésie. Elle consacre maintenant le plus clair de son temps à l’écriture. Son dernier roman, Sans parole ni poignée de main a été publié en 2022 chez Nimba Éditions et aborde de front les conséquences des déchets toxiques européens à Abidjan.

Le vidéopoème Fragments, réalisé par Anick Beaulieu et Gigi Perron, a été couronné œuvre gagnante de la compétition des Rendez-vous vidéopoésie 2022. 

Le jeudi 2 juin, au Cinéma Public, a eu lieu la compétition des Rendez-vous vidéopoésie, organisée dans le cadre de la 23e édition du Festival de la poésie de Montréal.

La qualité des 10 vidéopoèmes finalistes était remarquable. Le jury a cependant dû trancher et a couronné une œuvre gagnante : Fragments, réalisé par Anick Beaulieu et Gigi Perron. Le texte de leur vidéopoème est tirée du recueil 60 poèmes de Patrice Desbiens (L’Oie de Cravan).

Les lauréates reçoivent une bourse de 500 $ (CA) remise par le FPM et verront leur œuvre distribuée par Vidéographe.

Deux mentions ont aussi été accordées par le jury. L'une pour Ko pyhare, para siempre, réalisé par Fiorella Boucher et Laura Criollo-Carrillo, avec un texte signé par Fiorella Boucher. L'autre pour Sans échappe, réalisé par Helia Hagh-Doust.

Félicitations à tous·tes les finalistes!

Le FPM est heureux de décerner le Prix francophone international au poète luxembourgeois Jean Portante pour son recueil Jadis Je disait (éditions Phi).

Lors de la 23e édition du Festival de la poésie de Montréal, le poète Jean Portante était de passage dans la métropole pour participer au spectacle Ville éveillée, tenue à l'Auditorium BAnQ. Cette soirée était l'occasion d'entendre plusieurs poètes sur scène, mais aussi de remettre le Prix francophone international.

Le FPM a couroné le poète luxembourgeois, et lui a remis en main propre une bourse de 5000 $ (CA). Un autre des trois finalistes du Prix, Makenzy Orcel, était présent lors de ce spectacle pour offrir au public des lectures de son recueil en lice. 

Découvrez le mot du jury à propos du recueil Jadis je disait : « Jean Portante nous offre avec ce recueil une suite poétique de grande ampleur. Ici, le JE est celui qui parlait alors autrement et disait ce que l’improbable mémoire a depuis « effaçonné ». Le poète passe et repasse la frontière du réel et du souvenir, tandis que la lectrice ou le lecteur est invité·e à traverser de l’autre côté du miroir des apparences. Avec un rythme envoûtant et l’alternance subtile de registre poétique, les vers sont d’une tonalité ascendante qui « invoque » la puissance du mot et de l’image dans l’espace, le poète confirme sa maîtrise de l’écriture poétique. Jadis Je disait se donne à lire telle une traversée dont on a envie qu’elle dure une éternité. »

Le FPM remercie les membres du jury du Prix francophone international : Guy Régis Jr, directeur artistique du Festival Quatre Chemins, Haïti ; David Giannoni, directeur de la Maison de la poésie d’Amay/fiEstival, Fédération Wallonie-Bruxelles ; Abdoulaye Fodé Ndione, membre fondateur de la Maison africaine de la poésie internationale, Sénégal ; Isabelle Courteau, cofondatrice du Festival de la poésie de Montréal et directrice générale et artistique de 2000 à 2021, Québec, Canada ; Sylvestre Clancier, président de l’Académie Mallarmé et de la Maison de poésie — Fondation Émile-Blémont, France.

Merci également aux partenaires du Prix : Académie Mallarmé (France), Consulat général de France à Québec, Fédération des Maisons de la poésie européennes (MAIPO), Festival des Quatre chemins (Haïti), Maison Africaine de la Poésie (Sénégal), Maison de la poésie d’Amay et FiEstival (Fédération Wallonie-Bruxelles). Photos : Camille Gladu-Drouin photographe - Flamme

Sur la photo (de gauche à droite) : Noémie Perreault (codirectrice du FPM), Catherine Cormier-Larose (codirectrice du FPM), Jean Portante et Isabelle Courteau (membre du jury)

Photos : Camille Gladu-Drouin 

Lors de la 13e remise des Prix Numix, La rue des poètes, produite par le FPM en collaboration avec La Boîte interactive, a remporté le Grand Prix NUMIX ainsi que le Prix Numix de la catégorie Plateforme et Web - Production ludo-éducative - Jeunesse et famille.

« Pour la toute première fois, le jury des PRIX NUMIX a accordé le Grand Prix à deux œuvres : L’INFINI produite par Studio PHI et Felix & Paul, et La rue de poètes de La boîte interactive et du Festival de la poésie de Montréal. Preuve que la production numérique est plus en forme que jamais, et devant l’excellence, l’éclectisme et l’inventivité déployée, le jury a choisi de décerner, non pas un Grand Prix, mais bien deux Grand Prix. Ces deux productions d’exceptions méritent toutes les deux qu’on souligne leurs qualités d’ouverture, d’accessibilité et d’émotion. » 

Pour en savoir plus sur La rue des poètes, cliquez ici

 

 

Après avoir dévoilé une première sélection de 20 titres, puis une seconde sélection de 10 titres de poésie s'étant démarqués auprès du jury, le FPM est heureux de présenter les trois grands finalistes du Prix francophone international. 

Le jury a récompensé les recueils Mes forêts d'Hélène Dorion (Éditions Bruno Doucey), Pur sang de Makenzy Orcel (La Contre allée) et Jadis Je disait de Jean Portante (Éditions Phi). Les œuvres de la poète québécoise, du poète haïtien et du poète luxembourgeois ont, chacun à leur manière, séduit les membres du jury. Voici ce que ces derniers disent des œuvres finalistes.

 

Mes forêts d'Hélène Dorion (Éditions Bruno Doucey)

« Mes forêts est un livre accompli. On reconnaît d'emblée le ton élégiaque d’Hélène Dorion et cette sagesse faite d'une fine observation du monde qui l'entoure. La poète québécoise pressant la vie souterraine du cœur et de l'esprit par sa connaissance des forêts, celles qui peuvent apparaître sous nos yeux et celles des fondements de l'imaginaire, celles agitées des désordres du vent, qui accueillent à la fois les rêves et les désenchantements. Dans cet espace vert qu’il crée, le recueil donne des pistes de vie, de réveil et de survie nécessaire. Se déployant comme un murmure, la plume d’Hélène Dorion marque par son excellente mesure, son rythme maîtrisé, son lyrisme tout en subtilité, sa sensibilité et sa force singulière. »
 

Pur sang de Makenzy Orcel (La Contre allée)

« Pur sang est le récit d’une quête au déploiement épique. Ce long poème de « cris enragés » déconstruit tout un univers soumis à l’abandon. Faisant dialoguer la grande et la petite histoire, l’écriture de Makenzy Orcel exprime à la fois la rage devant la malchance d'Haïti et la souffrance indicible du lien entre la mère et son fils. L’écriture vibrante et étonnante se lit comme une longue chevauchée dans la langue et le souffle sauvages. On ne peut qu’être touché·e par cette poésie d’une belle fulgurance, qui offre tant de belles échappées lorsque le verbe est tendu. Assurément, le poète haïtien nous offre ici l’une de ses plus belles œuvres. »


Jadis Je disait de Jean Portante (Éditions Phi)

« Jean Portante nous offre avec ce recueil une suite poétique de grande ampleur. Ici, le JE est celui qui parlait alors autrement et disaitce que l’improbable mémoire a depuis ''effaçonné''. Le poète passe et repasse la frontière du réel et du souvenir, tandis que la lectrice ou le lecteur est invité·e à traverser de l’autre côté du miroir des apparences. Avec un rythme envoûtant et l’alternance subtile de registre poétique, les vers sont d’une tonalité ascendante qui « invoque » la puissance du mot et de l’image dans l’espace, le poète confirme sa maîtrise de l’écriture poétique. Jadis Je disait se donne à lire telle une traversée dont on a envie qu’elle dure une éternité. »

 

Récompensant une œuvre poétique s’étant démarquée par sa qualité formelle et thématique, le Prix francophone international sera remis lors de Ville éveillée - La Grande soirée du FPM. Le lauréat ou la lauréate se verra remettre une bourse de 5000 $ (CAD).