La programmation 2025 vous promet la découverte de poètes remarquables et d’unions surprenantes.

On y trouve la lecture De quel jardin parles-tu / et de quel temps ?, événement inaugural du festival, animé par Luba Markovskaia; Retrouver l'écho des paroles perdues, un spectacle présenté par les membres du Comité de femmes du Centre québécois du PEN International, avec entre autres sur scène Denise Desautels et Louise Dupré.

Cette année, l’incontournable Grande soirée du FPM emprunte le vers du poète palestinien Mosab Abu Toha, Mes gants prennent feu chaque fois, et réuniera sur scène huit poètes dont Eli Tareq El Bechelany-Lynch, Nada Sattouf, Nofel, Elkahna Talbi avec Marilou Craft et Elyze Venne-Deshaies à la direction musicale.

Le Festival de la poésie de Montréal accueille aussi des collaborations essentielles. Parmi elles, les Rendez-vous vidéopoésie en partenariat avec Vidéographe, dont la personne lauréate parmi les 11 finalistes sera connue le 27 mai prochain, 19h, suivant la projection au Cinéma Beaubien; le Cabaret de la maison en feu: 5 à 7 de lecture des éditions de la Maison en feu avec entre autres névé dumas, rachel lamoureux et Phara Thibault suivi de la première du spectacle Les entrailles ouvertes avec Mathieu Arsenault, Géraldine Bureau, Emmanuelle Riendeau et Maude Veilleux; la soirée Épiques voices présentée cette année en collaboration avec Cactus press, avec entre autres Emmanuel Deraps, Stéphane Martelly, Caroline Van Der Meer et Orane Thibaud; ainsi qu’un 5 à 7 de poésie et de musique co-organisé avec le Festival Équinoxe présentant des lectures accompagnées en direct par les musicien·nes Fahmid Nibesh, Naomi McCarroll-Butler et Raphaël Foisy.

En parallèle de cette programmation principale, une série d’une quinzaine d’événements satellites débutera dès le 21 mai. Il s’agit notamment de rencontres, d’entretiens et causeries soulignant l’effervescence du milieu poétique et le souffle que lui apporte le Festival de la poésie de Montréal.

Est-il possible de concevoir une résistance qui passe, non pas par le fait d’être dure ou robuste, mais par la douceur, le soin, la fulgurance de l’émotion brute qui ne demande qu’à être reçue? C’est ce sur quoi s’interrogera la première lauréate la résidence poétique Tracer la voix, un partenariat entre le Conseil des Arts de Montréal, la Bibliothèque interculturelle et le Festival de poésie de Montréal lors de l’événement Elissa Kayal : Une voix poétique et viscérale, le 21 mai.

Le Marché de la poésie sur la Place Gérald-Godin du métro Mont-Royal, du 30 mai au 1er juin, rassemble une soixantaine de maisons d’édition et une centaine de poètes. À travers une dizaine de Cabarets poétiques, d’ateliers et tables rondes, le public nombreux aura l'occasion de découvrir ou redécouvrir la poésie.

Amériques mosh pit, la soirée qui clôturera le Festival de la poésie de Montréal le 2 juin prochain, promet d’être vibrante, en poésie comme en musique, avec une trentaine d’artistes de l'Acadie au Manitoba, du Guatemala à Hochelaga, de l’Argentine à la Saskatchewan dont Louise Forestier, Xénia Gould, Hector Ruiz, Olivia Tapiero, VioleTT Pi et Jean-Paul Daoust, le tout sous la direction artistique de Joseph Edgar et du FPM.

Les finalistes ont été annoncés lors du lancement de la programmation, le 8 mai dernier, à la Maison de la culture Claude-Léveillée.

Le jury, composé de Isabelle Dumais, Allison Figuera Rojas, Uapukun Mestokosho et Sarah Seené, a choisi parmi une trentaine de soumissions onze finalistes aux propositions audacieuses et innovantes. 

Finalistes

Lou Boutet, Décollages
Maude Archambault-Wakil, Jean-Christophe Leblanc et Guillaume Létourneau, Ça, c'est la maison
Philippe Robin Boissier, Errance
Nadya Aubrey, Elsa Parent-Montpetit, Je me dilue dans le ciel blanc
Catherine Paquet, Hugo Doré, Julien Beaumier, Mélanie
Sarah Boutin, Des hirondelles
Alexandra Tremblay, Liquid Television
Élise Denis, Poésie fantôme
Sam Batour, Eux
Andrée-Anne Bergeron, Ensemble
Frédérique Picard, Auen tshil, auen nil / Qui es-tu ?

Le, la ou les gagnant·es seront connu·es lors de la soirée Rendez-vous vidéopoésie, le 27 mai prochain, au Cinéma Beaubien (projection à 19h, dévoilement à 20h30). 

Le FPM remercie son partenaire pour son précieux soutien  : Vidéographe

La projection sera précédée du projet Poésie Croisée. Il s'agit d'un projet de vidéo poèmes créés par les membres de 3 organismes communautaires d'Hochelaga-Maisonneuve : La Marie Debout - Centre de femmes Hochelaga-Maisonneuve, Le Chic Resto pop et La Gang à Rambrou. Il s'agit d'une initiative de médiation culturelle pilotée par Sarah Khilaji, Victor Bégin et Joannie Lafrenière, soutenue par la Ville de Montréal.

Nouveauté – Cette année, le FPM s’est accordé une sélection Coups de cœur de l’équipe, ouvrant les portes à la diversité artistique des participant·es. La sélection est la suivante :

Xénia Gould, Morte avant d'être rouge
Emmanuel Deraps, Traditions humaines
Maryse Arseneault, Guillaume Lavoie, Gargantua
Cédric Trahan, RAW Gelände
Emmanuelle Riendeau, Marie-Soleil St-Yves, Prochain tournant

 

Née en 2016, la compétition des RVVP en partenariat avec Vidéographe est ouverte aux poètes et vidéastes québécois·es et canadien·nes de tous les horizons par le biais d’un appel à vidéopoèmes en français ou avec des sous-titres en français. 

À propos du Festival de la poésie de Montréal

Fondé en 2000, le Festival de la poésie de Montréal a pour mission de promouvoir la poésie, ici comme à l’étranger. Il rassemble chaque printemps près de 200 poètes, éditeurs, éditrices, chercheurs et chercheuses. En plus d’une programmation diversifiée (spectacles, lectures, colloques, tables rondes, projections, balados, remises de prix, hommages, etc.), il tient chaque année le Marché de la poésie, événement unique en son genre en Amérique du Nord. La prochaine édition du FPM, qui souligne la 26ème édition, se tiendra du 25 mai au 5 juin 2025.

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C’est avec émotion que nous dévoilons aujourd’hui les deux affiches officielles de l’édition 2025 du Festival de la poésie de Montréal qui se tiendra du 25 mai au 5 juin. 

 

Que veut dire le mot ripostes dans un monde profondément incertain? De sa définition la plus essentielle, une riposte est vive, immédiate. 

 

Comment riposter en poésie? En prenant la parole, en multipliant les interventions, en démocratisant ses accès, en s’ouvrant radicalement sur le monde. 

 

L’affiche officielle du FPM 2025 veut transmettre ce sursaut inhérent de (sur)vie. Sans pessimisme, nous tenons à tendre la main vers notre colère pour en produire un mouvement vers l’avant. 

 

Une direction graphique de Heather Lynn McDonnel (@heatherlynn.jpg)

 

Les finalistes ont été annoncés lors du lancement de la programmation, le 8 mai dernier, à la Maison de la culture Claude-Léveillée.

Le jury, composé de Isabelle Dumais, Allison Figuera Rojas, Uapukun Mestokosho et Sarah Seené, a choisi parmi une trentaine de soumissions onze finalistes aux propositions audacieuses et innovantes. 

Finalistes

Lou Boutet, Décollages
Maude Archambault-Wakil, Jean-Christophe Leblanc et Guillaume Létourneau, Ça, c'est la maison
Philippe Robin Boissier, Errance
Nadya Aubrey, Elsa Parent-Montpetit, Je me dilue dans le ciel blanc
Catherine Paquet, Hugo Doré, Julien Beaumier, Mélanie
Sarah Boutin, Des hirondelles
Alexandra Tremblay, Liquid Television
Élise Denis, Poésie fantôme
Sam Batour, Eux
Andrée-Anne Bergeron, Ensemble
Frédérique Picard, Auen tshil, auen nil / Qui es-tu ?

Le, la ou les gagnant·es seront connu·es lors de la soirée Rendez-vous vidéopoésie, le 27 mai prochain, au Cinéma Beaubien (projection à 19h, dévoilement à 20h30). 

Le FPM remercie son partenaire pour son précieux soutien  : Vidéographe

La projection sera précédée du projet Poésie Croisée. Il s'agit d'un projet de vidéo poèmes créés par les membres de 3 organismes communautaires d'Hochelaga-Maisonneuve : La Marie Debout - Centre de femmes Hochelaga-Maisonneuve, Le Chic Resto pop et La Gang à Rambrou. Il s'agit d'une initiative de médiation culturelle pilotée par Sarah Khilaji, Victor Bégin et Joannie Lafrenière, soutenue par la Ville de Montréal.

Nouveauté – Cette année, le FPM s’est accordé une sélection Coups de cœur de l’équipe, ouvrant les portes à la diversité artistique des participant·es. La sélection est la suivante :

Xénia Gould, Morte avant d'être rouge
Emmanuel Deraps, Traditions humaines
Maryse Arseneault, Guillaume Lavoie, Gargantua
Cédric Trahan, RAW Gelände
Emmanuelle Riendeau, Marie-Soleil St-Yves, Prochain tournant

 

Née en 2016, la compétition des RVVP en partenariat avec Vidéographe est ouverte aux poètes et vidéastes québécois·es et canadien·nes de tous les horizons par le biais d’un appel à vidéopoèmes en français ou avec des sous-titres en français. 

À propos du Festival de la poésie de Montréal

Fondé en 2000, le Festival de la poésie de Montréal a pour mission de promouvoir la poésie, ici comme à l’étranger. Il rassemble chaque printemps près de 200 poètes, éditeurs, éditrices, chercheurs et chercheuses. En plus d’une programmation diversifiée (spectacles, lectures, colloques, tables rondes, projections, balados, remises de prix, hommages, etc.), il tient chaque année le Marché de la poésie, événement unique en son genre en Amérique du Nord. La prochaine édition du FPM, qui souligne la 26ème édition, se tiendra du 25 mai au 5 juin 2025.

Née à Beyrouth d’une famille libano-palestinienne, Elissa Kayal est une écrivaine, poète et critique littéraire qui habite Tiohtià:ke/Montréal depuis 2011. Sa pratique artistique allie performance, psychanalyse et poésie où la parole jaillit du corps et de ses organes. Ses principes sont l’euphorie, l’urgence, les célébrations vengeresses, l’oralité et la culture pop.

Dans le cadre de la résidence Tracer la voix, Elissa Kayal travaille sur l’écriture de trois suites poétiques intitulées « Utérus », où elle revient à ce premier contenant, le corps de l’autre, pour comprendre les notions de sécurité, de complétude et de paradis perdu. Sans nier la gravité des horreurs — ni passées ni actuelles —, son projet met en tension la violence du monde extérieur avec la douceur, la chaleur et la patience qui ont été déployées, avant même que l’on existe, pour nous donner naissance, justement, et nous offrir la vie. Il pose les questions suivantes : qu’est-ce qui, après la naissance, peut servir d’utérus substitutif   Qu’est-ce qui nous porte, nous contient, nous enveloppe lorsqu’adviennent la violence, le déchirement, le déracinement ? Est-il possible de concevoir une résistance qui passe, non pas par le fait d’être dur ou robuste, mais par la douceur, le soin, la fulgurance de l’émotion brute qui ne demande qu’à être « reçue » ? Est-il possible de concevoir, après la mère, la communauté ? Après le pays, le continent ? La poésie d’Elissa se veut une réponse claire, affirmative, à la haine et à la guerre : « j’arrive dans ce monde parce que j’y ai été portée ».

 

Le Festival de la poésie de Montréal revient du 25 mai au 5 juin, tout comme son Marché de la poésie, sur la Place Gérald-Godin de la Station Mont-Royal, du 30 mai au 1er juin. Plus d’une quarantaine d’activités et presque 200 poètes vous attendent pour célébrer ensemble le meilleur de la poésie.

Soyez des nôtres le 8 mai à la Maison de la culture Claude-Léveillée pour le Dévoilement de notre programmation 2025 en formule 5 à 7.

La poésie se manifeste comme un muscle. Sa chair et ses tissus s’exercent et tendent vers un état d’émerveillement en toute simplicité, accessible autant aux producteur‧trices d’œuvres poétiques que chez celles et ceux qui les apprécient.

L'œuvre numérique, Vox: Redéfinir la poésie, prend la forme d’une recherche exploratoire à la fois phénoménologique et esthétique qui se met en quête de la poésie, qui l’observe sous toutes ses formes, la transforme, la fait apparaître, l'analyse et la découvre, là où on l’attend le moins. À travers plusieurs vox pop dans les parcs et d’autres endroits mythiques de Montréal, nous avons demandé à toute une faune québécoise de redéfinir la poésie. 

Les vidéos suivantes ont été produites sous la direction documentaire et photographique de Denis McCready, réalisées par Kayla Jeanson, et contiennent les témoignages de quatre poètes multidisciplinaires.

Carol-Ann Belzil-Normand est une artiste multidisciplinaire ; animation, poésie, illustration, céramique, son, programmation, tous les médiums sont investis dans sa démarche. Elle dit de son art qu’il est frivole, qu’il a une logique floue qui lui permet une approche méthodologique sensible et humoristique. Elle est l’autrice de plusieurs recueils de poésie : Sanités chez Moult Éditions en 2020, Pussy Ghost aux Écrits des forges, publié en 2021, et Vamp aux Éditions du Passage en 2024.

« Ce qui me fait vraiment du bien dans la poésie c’est justement de pouvoir créer des univers. »

 

 

Louise Dupré est romancière, professeure, dramaturge et poète de renom. Son œuvre, traduite en une quinzaine de langues, s’intéresse à l’intime et au politique ainsi qu’aux intersections entre les deux. Son écriture ne cesse de nous émouvoir par son lyrisme particulier. Elle est membre de l’Académie des lettres du Québec, de la Société royale du Canada et de l’Ordre du Canada. Elle est récipiendaire de nombreux prix littéraires, dont le Grand Prix Québecor du Festival International de la Poésie qu’elle a reçu deux fois ainsi que le Prix de poésie du Gouverneur général qu’elle a aussi reçu à deux reprises. Son dernier roman s’intitule L’Homme au camion, publié cette année chez Héliotrope et son dernier recueil de poésie, Exercices de joie, a été publié au Noroît en 2022.

« Le poète, c’est quelqu’un qui va, à la fois jouer dans l'infiniment petit de l’âme, mais dans l'infiniment grand du monde. »

 

 

Kaie Kellough est poète, romancier et artiste sonore canadien aux origines Guyanaises. Récipiendaire de plusieurs prix littéraires et reconnu dans plusieurs festivals à l’international, Kaie explore les thèmes de la migration et de l’engagement social. Il travaille à ériger des ponts et à creuser des chemins entre les différentes frontières, celles des disciplines artistiques qui l’habitent ainsi que celles qui divisent les nations. Il fait partie du nonette FYEAR dans lequel s’allie la poésie et des compositions musicales multi-genres. Son recueil Équateur magnétique, traduit par Stéphane Martelly, a été publié en 2023 chez Triptyque. Il a aussi participé au livre Choeur(s) - Machine à présences poétiques, dirigé par Simon Dumas et publié chez Rhizome en 2024.

« In artistic practice, it really becomes something once it engages with other people. »

 

 

Soleil Launière est une artiste multidisciplinaire et metteure en scène Innue, originaire de Mashteuiatsh sur les rives du lac Pekuakami, qui allie l’art performance, le mouvement, le théâtre et le chant. Sa démarche explore le corps bi-spirituel, l’audiovisuel expérimental tout en s’inspirant de la cosmogonie et de l’esprit sacré des animaux du monde Innu. Son livre Akuteu, publié chez Remue-Ménage en 2023, interroge l’identité, en suspension entre la honte et la fierté, dans une forme poétique unique.

« Ma façon d’écrire c’est vraiment automatique, c’est instinctif, c’est de laisser les mots couler…»

 

 

 

Vox: Redéfinir la poésie est exposé en partie en ligne sur le site web et le compte Instagram du Festival de la poésie de Montréal. Il sera également exposé lors du Festival de la poésie de Montréal, dont les activités se dérouleront du 25 mai au 5 juin 2025.

Ce projet a été réalisé avec l’aide du Programme Initiatives collaboratives en créativité numérique de la Ville de Montréal.

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Crédits :
Conception : Festival de la poésie de Montréal & mirari
Direction artistique : Anne Lagacé
Photographie et entrevues : Denis McCready
Vidéo : Kayla Jeanson

Réalisé grâce au soutien de la Ville de Montréal

De la part de toute l'équipe du FPM, nous vous souhaitons une année de nouveaux horizons, remplie d'amour, de compassion et bien sûr, de poésie. Avant de se lancer complètement en 2025, nous souhaitons faire un court bilan de nos activités de l'automne 2024, vous pouvez donc consulter notre infolettre de début d'année pour voir cette rétrospective.

Cet hiver, surveillez nos réseaux sociaux pour la publication du projet Redéfinir la poésie, une série de vidéos en collaboration avec mirari, ainsi que le projet L'Impossibilité d'écrire, présenté par Rhizome à la Fondation Guido-Molinari le 15 février prochain.

Si vous désirez vous abonner à notre infolettre, vous pouvez le faire au bas de cette page.

Crédit photo : Camille Gladu-Drouin

Le Prix Francophone International, édition 2024 a été attribué ce soir, lors de la Grande Soirée du festival, à la Sala Rossa, à Annie Lafleur pour son recueil Puberté. En tant que lauréate, Annie Lafleur recevra une bourse de 5 000 $ et nous fera le plaisir de faire une lecture dans le cadre du Marché de la poésie de Montréal. 

Crédits photos : Justine Latour

Mot de gratitude de la lauréate :

« Mon cœur explose! Je suis littéralement sous le choc. J’ai dû fermer les yeux en apprenant la nouvelle, comme si la lumière était trop forte, trop éblouissante! Ce Prix est le plus grand honneur de ma vie. Je le reçois avec beaucoup d’émotion, de reconnaissance et d’humilité : je me sens si bien accompagnée par chaque membre du jury, que je remercie infiniment. Oui, c’est inouï!  

Je tiens à féliciter les finalistes pour leurs ouvrages remarquables. Et je remercie mon éditeur et mon éditrice pour leur soutien indéfectible, ainsi que toute l’équipe dévouée du Quartanier. Fêtons! »

Le Quartanier renchérit : « C’est avec une joie immense que nous avons appris qu’Annie Lafleur remportait le Prix francophone international du Festival de la poésie de Montréal avec Puberté. Ce livre représente un jalon majeur dans l’œuvre d’Annie : la fin d’un cycle, entamé avec Rosebud et poursuivi avec Bec-de-lièvre puis Ciguë, mais surtout son livre le plus ambitieux et le plus abouti, où sa langue d’orfèvre se déploie avec plus de prégnance, de raffinement et de puissance que jamais. Toute l’équipe du Quartanier est heureuse et fière de publier Annie Lafleur et de défendre son travail, sa voix si singulière, de livre en livre, depuis déjà plus de dix ans ».

Félicitations !

Un grand bravo à Annie Lafleur pour cette réalisation exceptionnelle, et nous encourageons chaleureusement les amateurs de poésie à découvrir son recueil Puberté, ainsi que les autres ouvrages de cette talentueuse poète québécoise.

Le FPM remercie ses partenaires pour leur précieux soutien : Académie Mallarmé (France), Fédération des Maisons de la poésie européennes (MAIPO), Festival des Quatre chemins (Haïti), Maison Africaine de la Poésie (Sénégal), Maison de la poésie d’Amay et FiEstival (Fédération Wallonie-Bruxelles).

 

À propos du Prix francophone international 

Créé par le FPM en 2020, le Prix francophone international du Festival de la poésie de Montréal est décerné annuellement pour récompenser une œuvre poétique francophone s’étant démarquée par sa qualité formelle et thématique. Cette récompense vise à stimuler les échanges entre les écrivain·eset leurs différents publics à travers le monde francophone. Le nom du lauréat ou de la lauréate est dévoilé chaque année au Festival de la poésie de Montréal.